Une lettre à Loyle Carner
Il y a parfois des albums qu’on aime mais dont on a énormément de mal à parler. Des albums sur lesquels il y a beaucoup à dire mais dont on ne trouve pas le bon angle d’ouverture. Mais finalement, on a tellement envie d’en parler qu’on essaie de trouver un moyen différent d’exprimer ce qu’on a à dire. Aujourd’hui, j’ai décidé de troquer le « on » par le « je » et d’écrire une lettre à Loyle Carner pour parler de Not Waving, But Drowing.