Live report: La fête de la musique avec FIP !

Le rendez-vous à ne pas louper lors de la Fête de la Musique ? C’était aux Arènes de Lutèce avec FIP ! La radio nous a offert un grand concert au cœur de Paris où nous pouvions retrouver de nombreux artistes et plus précisément : Peter Doherty, L’Impératrice, Piers Faccini, Ballaké Sissoko et ses complices de renom, Meskerel Mees et Last Train. 

La soirée a débuté pour nous avec le célèbre rockeur britannique Peter Doherty; il fut même présenté comme « l’indomptable » mais on avait plutôt l’impression de retrouver un copain de longue date et ça faisait plaisir. Il a échangé quelques mots en français avec le public, comblé les soucis technique de sa pianiste en grattant quelques notes. On a eu droits à quelques tires de The Libertines tel que la balade You’re My Waterloo et l’hymne Don’t Look Back Into The Sun. Un chouette moment où on était définitivement heureux de retrouver Pete. 

La soirée se poursuivit avec la jeune et touchante Meskerem Mees, on pu même apercevoir Peter Doherty qui a été assez curieux pour assister à ce concert du côté de la scène. Vint ensuite le tour de L’Impératrice qui nous réveilla avec un son plus élevé et nous donna l’impression de faire un truc interdit suite à la remarque de Flore. Elle nous a aussi appris des choses comme les groupes en voie de disparition mais surtout que nous étions encore capable de danser ! Certaines personnes du public se regroupèrent au plus près de la scène nous donnant l’impression de revoir une véritable fosse. On a versé une larme de nostalgie. 

La Fête de la Musique continua ensuite avec Ballaké Sissoko, les notes s’élevèrent en même temps que la tempête. Des invités furent de la partie : Oxmo Poccino et son phrasé hypnotisant, Camille que nous entendions que trop peu recroquevillée sur sa chaise, Piers Faccini qui nous toucha et Arthur Teboul qui chamboula quelques groupies. 

La soirée se clôtura avec l’excellent groupe Last Train. L’émotion était palpable, les rockeurs en manquent de concert avaient la larme à l’œil tellement c’était beau. Cette voix rocailleuse, ces riffs de guitare, cette communion du groupe avec le public. Une soirée qui a fini en beauté. 

Bonus : les photos de la soirée par Cédric Oberlin